ACADÉMIE FRANÇAISE DE PSYCHOLOGIE FONCTIONNELLE
& EFPF / ÉCOLE FRANÇAISE DE PSYCHOLOGIE FONCTIONNELLE
une efficacité exceptionnelle à la pointe des neurosciences !
ECOLE PSYCHOTHERAPIE FRANCE
FORMATION PSYCHOTHERAPIE & FORMATION PSYCHOTHERAPEUTE FRANCE
ECOLE FRANCAISE DE PSYCHOLOGIE FONCTIONNELLE
à la pointe des neurosciences !
Neo-fonctionnalisme et neurosciences pour cette ECOLE DE PSYCHOTHERAPIE
Aujourd’hui nous ne pouvons pas ignorer les influences fondamentales que peuvent avoir toutes les découvertes les plus récentes en neurosciences sur la psychothérapie, car elles nous permettent de mieux comprendre ce qui se passe lorsqu’un patient récupère des capacités qu’il avait perdu, lorsqu’il retrouve le bien-être, lorsqu’il renforce son estime de soi, lorsqu’il surmonte ses pathologies et ses troubles.
Les neurosciences, avec leurs découvertes récentes, représentent l’un des points de changement et d’avancement les plus importants des concepts concernant la personne.
Le Neo-fonctionnalisme et la Psychologie Fonctionnelle s’intéresse au fonctionnement des organismes vivants, à ce qui est à la base de comportements, des attitudes, des paroles, des pensées. Son concept fondamental repose sur la vision d’une personne en tant qu’organisme corps-esprit global et intégré, composé de divers systèmes profondément interdépendants et interconnectés : Système Nerveux Central, Système Nerveux Périphérique, Neurovégétatif, Endocrinien, Immunitaire, Emotionnel, Cognitif, Perceptif ainsi que le Système Sensoriel-Postural-Moteur.
Voici différentes découvertes intéressantes des neurosciences qui peuvent avoir un lien étroit avec notre ECOLE DE PSYCHOTHERAPIE.
Marvin Minsky,
Mathématicien et neuroscientifique, l’un des plus ardents défenseurs de la plasticité du cerveau et de son fonctionnement.
Dans notre Ecole de Psychothérapie Fonctionnelle, nous prenons en compte la globalité de la personne et les connexions à tous les niveaux : neurovégétatif, émotionnel, postural et cognitif, sans les séparer en parties ou les hiérarchiser. C’est un mode de fonctionnement circulaire.
Nous rejoignons le chercheur en Neuroscience Minsky qui dit que Les fonctionnement supérieur du cerveau est alimenté par des fonctions plus simples qui construisent la conscience humaine. Il dit que les fonctions mentales supérieures n’ont pas de localisation précise, mais résultent d’interactions entre entités élémentaires dont est constitué le cerveau (1989). Il parle de l’organisation d’entités élémentaires et non de lieux hiérarchique dans le cerveau.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marvin_Minsky
Niels Bohr (1963) et Roger Penrose (1996)
Dans notre Ecole de Psychothérapie Fonctionnelle, on dit que lorsque les changements arrivent, ils arrivent à tous les niveaux, et de micro à macro. Quand nous intervenons sur une fonction, les changements arrivent sur d’autres fonctions et confirment les résultats de recherches de l’autre neuroscientifique Penrose qui dit que le cerveau ne fonctionne pas comme ordinateur avec des mécanismes classiques, mais il fonctionne d'une façon quantique : les changements qui s’opèrent dans un endroit, produisent des changements également dans un autre endroit. L’homme peut effectuer des opérations qui peuvent ne pas être rattachées à la logique formelle. Aucun algorithme ne nous permettra de réagir de manière aussi efficace et variée avec l’environnement que l’être humain parvient à le faire.
Nous passons d’une épistémologie causale-linéaire à une épistémologie circulaire, selon laquelle pour déterminer un phénomène ou un événement, il n’y a pas une seule cause mais de nombreux facteurs contributifs et chaque événement, à son tour, agit sur les causes qui l’ont produit.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Niels_Bohr
https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Penrose
Gérald Edelman (1995)
Dans notre Ecole de Psychothérapie Fonctionnelle, nous défendons l’idée que la répétition du vécu positif dans la thérapie permet d’augmenter les capacités cognitives, mais aussi notre capacité d’être heureux. Nous rejoignons la théorie d’Edelman sur la sélection neuronale qui dit que les circuits cérébraux se développent de manière évolutive, si les circuits sont activés intensément et continuellement ou pas. Les stimuli provenant de l’environnement et du reste de l’organisme font que certains groupes de neurones se développent d'avantage et d’autres moins. Le processus est guidé par l’environnement et n’est pas inscrit dans les gènes. La répétition d’expériences positives crée la multiplication de neurones alors même que sans stimulation la quantité de neurones diminue. Tout comme les Expériences de Base de notre formation en psychothérapie France qui se consolident si elles sont aidées par le milieu environnant, si elles sont traversées positivement encore et encore par l’enfant, dans diverses situations et contextes différents. On sait aujourd’hui par exemple, que les souvenirs sont « plastiques » et changent à chaque fois qu’ils sont rappelés par la mémoire en fonction des situations du moment.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gerald_Edelman
Antonio Damasio (2000 ; 2003 ; 20012) et Rizzolatti (2007)
Ces chercheurs ont relevé la centralité des processus physiologiques et corporels dans la formation de la conscience et dans l’organisation du Soi.
Dans notre Ecole de psychothérapie et dans nos formations de psychothérapeutes France Psychologie Fonctionnelle, tout un travail sera fait sur l’empathie pour encourager la relation à soi et à l’autre. Nous allons aider la personne à développer des sensations et perceptions qui aident la personne à faire des bons choix, mais aussi de comprendre l’autre et de partager.
Le chercheur Damasio soutient que les émotions sont des réponses psychophysiologiques visant à optimiser les actions par lesquelles l’organisme interagit avec le monde qui l’entoure.
La théorie de neurones bimodaux, neurones miroirs et les découvertes de Damasio dit que les zones ou aires frontales et pariétales sont étroitement liées aux aires visuelles, auditives et tactiles. Il s’agit d’une véritable capacité de compréhension, une compréhension implicite, pragmatique et non réfléchie qui peut exister uniquement si la personne a déjà vécu la même situation. Les découvertes démontrent que grâce à une collaboration entre l’insula et le système vasomoteur, nous pouvons ressentir l’émotion de l’autre. Face à l’émotion d’une personne, les neurones miroirs permettent de ressentir cette même émotion, afin de développer chez nous une capacité à l’empathie, indispensable à la relation et au partage.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ant%C3%B3nio_Dam%C3%A1sio
https://fr.wikipedia.org/wiki/Giacomo_Rizzolatti
Daniel Siegel
Siegel a apporté une contribution notable à la compréhension du fonctionnement humain, en soulignant comment l’esprit est un entrelacement complexe d’éléments cognitifs et affectifs, et donc un outil fondamental dans la relation. Il a souligné l’importance du contact physique dans le développement neuronal.
Notre Ecole Française de Psychologie Fonctionnelle a mis au point pour ses formations de psychothérapeutes des touchés techniques afin de se sentir bien tenu, pris, nourri pour restaurer les manques, rejoignant ainsi les recherches de Siegel énonçant que le contact physique, la sensation d’être bien tenu et touché. Le contact corporel augmente les connections synaptiques qui augmentent la quantité neuronale et influencent le cerveau, notamment en augmentant la curiosité.
Le thérapeute se met à l’écoute du patient à travers l’utilisation de la voix, du langage corporel et de la résonance émotionnelle, avec des outils thérapeutiques : mouvements, respirations, massages, dans un contact et un partage qui ne peuvent pas être seulement verbaux et cognitifs va contribuer à la restauration des manques.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Spiegelberg
Daniel Goléman
L'Ecole Française de Psychologie Fonctionnelle va développer l’intelligence de l’organisme, nos formations de psychothérapeutes ne vont pas se réduire à une intelligence rationnelle ou même émotionnelle, on va même aller plus loin que le chercheur en Neuroscience Daniel Goléman qui dit que nos émotions sont reliées à l’intelligence, il n y a pas qu'une intelligence rationnelle. L’intelligence ne peut pas être détachée du niveau de l’émotion.
Il divise la notion d’intelligence émotionnelle en deux sous-catégories principales :
1 / les compétences personnelles
2/ les compétences sociales.
L’un des éléments les plus importants est l’empathie, c'est-à-dire la capacité de reconnaitre les émotions et les sentiments des autres, en se mettant à leur place.
Selon Goléman, l’intelligence émotionnelle peut être développée grâce à un entraînement adéquat, visant avant tout à saisir les sentiments et les émotions, les nôtres et ceux des autres, les diriger dans un sens constructif. Si l’intelligence liée au QI a tendance à se stabiliser vers l’âge de 16 ans, l’intelligence émotionnelle peut s’améliorer tout au long de la vie.
Le Neo-fonctionnalisme d’aujourd’hui, notre Ecole Française de Psychologie Fonctionnelle avec sa vision spécifique, soutient que l’intelligence est une capacité qui peut être définie d’une manière encore plus globale, comme intelligence du Soi tout entier (intelligence globale), avec ses aspects cognitifs et émotionnels, mais aussi posturaux, moteurs, sensoriels, neurovégétatifs, psychophysiologiques et psychobiologique (L. Rispoli 2016)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Goleman
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